Résumé
présente depuis plus de quatre mois a été traitée avec Accel-Heal. Les deux plaies se sont considérablement améliorées dans les trois mois qui ont suivi la thérapie Accel-Heal.
Avant Accel-Heal
Une patiente de 75 ans a présenté des ulcères de jambe veineux récurrents bilatéraux, malgré le port de bas de contention. Les plaies n'étaient toujours pas cicatrisées au bout de 4 mois. La plaie de la jambe gauche mesurait 7 cm2 et celle de la jambe droite 10 cm2 .
Malgré le port d'un bandage à haute compression graduée pendant quatre semaines, aucune amélioration n'a été constatée. Il a été adressé à l'équipe vasculaire pour une éventuelle chirurgie vasculaire, compte tenu de la récidive. Son score de douleur était de 6/10 malgré la prise régulière de co-codamol et il a été adressé au médecin généraliste pour un examen des analgésiques.
Pendant le traitement par Accel-Heal
Après discussion et consentement, le patient s'est vu prescrire la thérapie Accel-Heal dans le but de réduire la douleur de la plaie et de relancer la cicatrisation. Compte tenu de la taille, de la profondeur et de l'état de la plaie, il a été décidé d'appliquer les électrodes sur la plaie médiane gauche.
La thérapie Accel-Heal a débuté en février 2017 et s'est poursuivie pendant 12 jours. La cicatrisation humide standard et la thérapie à haute compression graduée se sont poursuivies pendant et après la thérapie Accel-Heal. Les changements de pansements deux fois par semaine se sont poursuivis. Le patient a changé ses propres dispositifs Accel-Heal toutes les 48 heures, conformément aux instructions fournies.
Figure 1. Face interne gauche 24/01/17 avant Accel-Heal
Figure 2. Aspect médial droit le 24/01/17 avant Accel-Heal
Figure 3. Plaie médiane gauche le 28/03/17
Figure 4. Plaie médiane gauche le 09/05/17
Figures 5. Plaie médiane droite le 09/05/17
Figures 6. Plaie médiane droite le 09/05/17
Résultats
Deux semaines après le début de la thérapie Accel-Heal, le score de douleur du patient n'a pas changé, mais le patient a déclaré qu'une grande partie de sa douleur était maintenant due à l'arthrite des chevilles, plutôt qu'à une douleur liée à la plaie. Il prenait un traitement analgésique régulier, après examen par le médecin généraliste.
Fin mars 2017, la surface de la plaie sur la jambe gauche du patient avait considérablement diminué, ne mesurant plus que 1 cm 2 . Le score de la douleur avait également diminué pour atteindre 2/10. Les changements de pansements pouvaient désormais être réduits à une fois par semaine ; les plaies continuaient de s'améliorer. Malheureusement, le patient a été perdu de vue lors du suivi, de sorte que le temps nécessaire à la cicatrisation complète n'a pas pu être déterminé.